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Les méditations de la reyne de coupe
14 mai 2007

La Tempête et Miranda

Y a-t-il une sainte Miranda? je ne sais pas je n'ai pas trouvé; je croyais avoir trouvé le nom de ma petite chatte dans la littérature pour poulettes "Misérable Miranda" et "Le Diable s'habille en Prada", sauf que ce sont des romans anglo-saxon qui puisent les noms dans la tradition de leur culture, et brusquement cela m'est revenu; Miranda bien sûr, la fille de Prospero, c'est si joli :"Brave new world"
La Tempête

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Miranda dans l'orage, peinture de John William Waterhouse (1916) -  Les pièces de Shakespeare étaient une des thématiques les plus courantes chez les peintres préraphaélites.

Miranda dans l'orage, peinture de John William Waterhouse (1916) -
Les pièces de Shakespeare étaient une des thématiques les plus courantes chez les peintres préraphaélites.

La Tempête est une comédie en cinq actes, écrite par William Shakespeare et créée en 1611.

Le duc de Milan, Prospero, après avoir été déchu et exilé par son frère, se retrouve avec sa fille Miranda sur une île déserte. Grâce à la magie que lui confèrent ses livres, il maîtrise les éléments naturels et les esprits ; notamment Ariel, esprit positif de l'air et du souffle de vie ainsi que Caliban, être négatif symbolisant la terre, la violence et la mort.

La scène s'ouvre sur le naufrage, provoqué par Ariel, d'un navire portant le roi de Naples, son fils Ferdinand ainsi que le frère parjure de Prospero, Antonio. Usant de sa magie et de l'illusion, Prospero fera subir aux trois personnages échoués sur l'île diverses épreuves destinées à les punir de leur traîtrise, mais qui auront également un caractère initiatique. En fin de compte Prospero se réconciliera avec son frère et le roi mariera sa fille avec Ferdinand, libérera Ariel et Caliban puis renoncera à la magie pour retrouver son duché.

Les personnages de La Tempête se sont élevés aujourd'hui à un rang presque mythique : représentés, cités, repris, mis en scène par nombre d'artistes dans leurs œuvres, ils incarnent et symbolisent avec une grande richesse des comportements et sentiments humains. Caliban et Ariel ont souvent servi à symboliser les peuples primitifs des colonies, esclaves et jouets des puissances coloniales, ballottés dans les querelles des colons auxquelles ils ne comprennent rien.

L'œuvre a inspiré un semi-opéra à Purcell (1695), une fantaisie symphonique à Tchaïkovski (1873), une musique de scène à Honegger (1923-1929) et à Sibelius (1926), un opéra à Frank Martin (1956), le film Planète interdite (1956), le film Prospero's books (1991) à Peter Greenaway et le roman de science-fiction Olympos (2005) à Dan Simmons, la pièce Une Tempête à Aimé Césaire.

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Commentaires
B
Coucou,<br /> Miranda a une bien illustre histoire comme ma Galatée ! ;)<br /> Bon mardi avec un peu de soleil ici !<br /> =^..^=
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