Encore de la tristesse
Parce que je repars demain, mais en principe la semaine prochaine c'est ma sortie, mais je ne serais toujours pas libre, je devrais aller à l'hôpital de jour, où j'ai passé la journée aujourd'hui, à m'ennuyer, et encore je suis arrivée en retard, mais c'est de leur faute, ils commencent toujours bien plus tard que l'heure à laquelle ils disent de venir, alors je ne me suis pas pressée; je suis rentrée dans une maison vide, sous alarme, mon père est chez le cardiologue et il avait laissé Agathon dehors, j'ai dû arranger tout ça et ressortir faire provision d'eau.
Il faut encore que je range mes affaires pour repartir, c'est de plus en plus pesant, bon cela va être ffini, mais aller à l'hôpital de jour est pénible, le trajet est incommode et ce qu'on y fait n'a guère d'intérêt, je suis mieux chez moi.
L'envirronnement est plus agréable et il n'y a pas des gens qui crient toute la nuit, ou qui tapent.
Je suis toujours ébahie de m'être retrouvée chez les fous pour un malaise dont je m'étais vite remise.
Les hôpitaux c'est de la dépersonnalisation, qu'on ait une famille une maison ne semblent pas entrer en ligne de compte.