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Les méditations de la reyne de coupe
28 février 2007

Vallonement

Le dormeur du valarwen

C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Arthur Rimbaud

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Drôle de rêve, une fois de plus, je trouvais une fenêtre de la chambre de ma soeur grande ouverte, et bien qu'en réalité elle soit au deuxième étage, là il suffisait d'enjamber la fenêtre pour se retrouver sur une petite pente herbue qui descendait dans le jardin, et les chats s'y précipitaient, et moi à la suite pour les empêcher de s'enfuir.

Et après, j'étais dans la vieile 504 de mon père qui n'existe plus depuis longtemps, ma soeur conduisait, et j'étais assise sur la banquette arrière avec Agathon en laisse, et nous devions nous arrêter pour saluer une vieille dame toute petite, je dev1572_829581855_000_1129_H172952_Lais lui faire des condoléances pour quelqu'un qui était mort dans sa famille, mais je n'arrivais pas à me souvenir du nom de la dame, ni de celui du défunt!

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B
Coucou !!!<br /> L'article est en ligne ;)<br /> <br /> Bonne journée !<br /> =^..^=
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