Michel Legrand "récital piano solo"

Hier soir, au théâtre Anthéa, nous étions tout en haut, trop vertigineux pour que j'ose bouger dans le noir! J'ai donc tenu le coup le temps de la représentation, 1h30. Les réservations, c'est la loterie, comme cela a bien marché des représentations supplémentaires ont été créées, peut-être qui si nous n'avions pas eu de places du premier coup, nous aurions eu de meilleures places! Le seul avantage, c'est que nous n'avons pas payé cher!

Michel Legrand jouait au piano ses compositions les plus connues, des musiques de films que nous avons dû tous voir au moins à la télévision, il faisait quelques petits commentaires humoristiques et était accompagné d'un contrebassiste.

Ma soeur était contrariée parce qu'elle avait oublié ses jumelles de théâtre, qui auraient utiles, à cette distance, pour voir la tête des interprêtes!

Nous sommes sorties et rentrées sous une pluie battante et il faisait glacial, pour me taquiner ma soeur me disait qu'en rentrant j'allais trouver trois chats sur mon lit et que je n'aurais plus qu'à dormir dans le landau de poupées!

Mais je n'ai trouvé que deux chats, les miens, j'ai d'abord dîné et je me suis trouvée une petite place dans le lit pour continuer à regarder la télévision un moment, du coup, je me suis endormie tard, et levée tard, ce qui n'avais pas d'importance puisque nous ne ferons les courses que cet après-midi.

Le chat noir et blanc vient plusieurs fois par jour et il dévore les croquettes, j'ai dit à ma soeur de m'en rapporter un des sacs qu'elle a dans sa voiture quand elle viendra tout à l'heure.

Miranda est dans tous ses états à chaque visite, en début d'après-midi, il est arrivé par la fenêtre de la cuisine, suivi par Agathon qui lui bloquait le passage pour repartir, j'ai dû le faire sortir par le jardin, c'est épique!

Les photos, le chat noir et blanc se confronte à Miranda, puis à Agathon, il fait un petit tour dans la salle de bains, les deux chats sur mon lit, c'était hier soir, relativement tard, le calme était revenu.

Comments

[Véronique]

Ce n"étaient pas les têtes que j'aurais voulu voir hier, mais le jeu des mains sur le piano, surtout que j'avais une vue imprenable sur le clavier. C'est un truc de pianiste de vouloir voir les mains. C'est pour cela que les places côté jardin se vendent en priorité dans les récitals de piano.