"Le tigre et le président"

Hier, nous avons  fait les courses au milieu de l'après-midi, ensuite, je me suis pas sentie le courage d'aller à la piscine, une fois mes achats rangés, j'ai fait du thé, ma soeur était là, elle va au festival d'art sacré, il y a un concert tous les soirs.

Pollux n'est toujours pas rentré, il profite du beau temps pour vagabonder, il doit sentir là où il y a un chat et la nourriture qui va avec et entrer... Ce serait plus simple de revenir chez lui, je ne sais pas ce qui se passe dans sa tête de chat.

Agathe est toujours pressée de venir pour ses friandises, il faudrait que Pollux ait lui aussi quelque chose de particulièrement attirant !

Aujourd'hui, c'est dimanche, je ne me suis pas réveillée trop tard, à un peu plus de 9h, avec ma soeur, nous avions prévu d'aller au cinéma, elle est venue déjeuner avec moi avant.

Le film commençait tôt, donc notre déjeuner aussi.

L'histoire se passe en 1920, le tigre, c'est Georges Clémenceau qui vient de perdre l'élection présidentielle contre Paul Deschanel, le président, cela commence par le moment où le président tombe du train et se retrouve chez le garde-barrière qui bien sûr ne croit pas à son affirmation qu'il est le président de la république, c'était avant la télévision !

Puis on voit toute l'histoire de l'affrontement entre Clémenceau et Deschanel, le séjour à l'Elysée du président Deschanel qui donnera sa démission au bout de six mois. Sans doute écrasé par la fonction, il tombe en dépression.

Ma soeur était contente, il y avait beaucoup de musique classique pour accompagner les scènes du film.

De retour chez moi, j'ai fait mon thé, cette fois, ma soeur n'a pas le temps, le concert est plus tôt.

Les photos d'Agathe, hier soir et ce matin sur les valises, deux photos de Pollux, en mode cool, il est bien quand il est là, donc, pourquoi ne rentre-t-il pas ? Mystère.

Comments

[monica-breiz]

bonne soirée MARIE Christine

le film que tu nous cites devait être trés intéressant



encore une chaude journée chez nous

et pas d epluie non plus

bises

kénavo